@Wonderfall Du coup j'ai converti mon fichier portainer.yml en labels à l'identique du fichier de config dynamique (sauf url qui n'est pas supporté dans les labels) et maintenant je n'ai plus de doublon malgré l'activation du traefik.enable, ce qui est normal vu que j'ai supprimé le fichier portainer.yml après la transformation en labels :
labels:
- "traefik.enable=true"
- "traefik.docker.network=test1"
- "traefik.http.routers.portainer-secure.rule=Host(`portainer.domain.tld`)"
- "traefik.http.routers.portainer-secure.entrypoints=websecure"
- "traefik.http.routers.portainer-secure.middlewares=hsts@file, security@file, compression@file"
- "traefik.http.routers.portainer-secure.tls.certresolver=letsencrypt-ec384"
- "traefik.http.routers.portainer-secure.service=portainer"
- "traefik.http.services.portainer.loadBalancer.server.port=9000"
Mais en faisant ça maintenant le provider docker pour portainer récupère les bonnes informations :
TLS | Rule | Entrypoints | Name | Service | Provider
True | Host(portainer.domain.tld) | websecure | portainer-secure@docker | portainer | Docker
Je ne sais pas si je loupe quelque chose dans le fichier de config dynamique. Après si je passe en labels, quels sont les avantages/inconvénients par rapport à une config dynamique ? Si je comprends bien le tuto de @xataz :
Déjà je n'aime pas le fait de mettre mon socket docker dans un conteneur, même en lecture seul, le socket à toutes les informations des conteneurs. Autrement, je n'aime pas trop alourdir mes docker-compose, j'aime quand c'est clair, net et précis.
Le fait de passer par les fichiers de config permet de (1) ne pas à avoir à utiliser le socket docker dans traefik et (2) ne pas surcharger les docker-compose avec tous les labels ?
Edit : Le maintainer de Traefik conseille d'utiliser les labels avec Docker : https://community.traefik.io/t/label-vs-yml-config-setup/3546
Vu que je vais utiliser le socket proxy avec, ce sera déjà un peu plus secure si j'utilise le socket dans traefik